Collecte et analyse de données – quelques outils supplémentaires
Nous avions déjà vu comment utiliser Daylio pour faire une collecte de données : cette fois-ci je vous propose d’aller bien plus loin encore, grâce à d’autres logiciels…
Nous avions déjà vu comment utiliser Daylio pour faire une collecte de données : cette fois-ci je vous propose d’aller bien plus loin encore, grâce à d’autres logiciels…
Dans cet article, je vais vous expliquer le sujet de mon mémoire, c’est-à-dire mon investigation pour déterminer si la mutation MDR1 influence le comportement chez le chien… et je vais en profiter pour ajouter un aspect “Philosophie des sciences”. Comme… Lire la suite »Une correlation entre la mutation MDR1 et le comportement ?
Dans le monde canin et dans le monde humain, un certain nombre de mythes entourent le concept de stress et son représentant physiologique, le Cortisol. On entend qu’il serait absolument délétère, à fuir absolument, comme on entend aussi son contraire:… Lire la suite »Le stress et le Cortisol, mythes et démystification
La nation iroquoise avait l’habitude de demander, avant chaque palabre, qui, dans l’assemblée, allait parler au nom du Loup, c’est-à-dire parler au nom des absents, des sans-voix. Allons encore un pas plus loin : comment parler au nom du Chien, lui qui est si divers, si polymorphe qu’il résiste à toute tentative de le ranger dans des catégories qui incluraient en même temps tous les chiens ? Pourquoi ne pas, au contraire, assumer cette irréductibilité comme une nouvelle puissance de pensée…
En les rassemblant en un seul mot, le concept de Ritournelle est une invitation à penser ensemble le besoin de sécurité et le plaisir de l’exploration. Adapté à nos chiens sensibles, c’est un outil supplémentaire pour les observer différement…
Cet article a un projet ambitieux et qui me tient à coeur : essayer d’assainir le rapport entre les sciences et l’éducation positive canine. Notre attrait pour les sciences canines est bien sûr légitime, et il est au fondement de… Lire la suite »Sciences et Pratiques II – L’écologie des pratiques
Au sein du monde canin en positif, se pose la question du rapport entre sciences et pratique : les deux sont-elles deux mondes différents, sans aucun lien, ou au contraire, la pratique du comportement canin peut-être être scientifique ? Comme toujours, c’est bien plus complexe que ça…
Ah les fameux “codes canins”, et leur corollaire, les “comportements observables” ! Comme toujours, c’est un peu plus compliqué que ça en a l’air… Bien sûr, ils existent : un chien qui tient sa queue entre les jambes n’exprime pas la même chose qu’un chien qui nous regarde fixement en grognant. Et pourtant, est-ce qu’on peut apprendre le “langage chien” comme on apprend une langue sur duolingo, en apprenant par coeur une liste de vocabulaire ?
Comme j’en ai déjà parlé dans l’article Epaissir le réel, un des objectifs de ce blog est d’aborder les contenus scientifiques sous un angle épistémologique (critique des constructions de savoirs) particulier : l’approche des savoirs situés. C’est une approche qui combine sans les opposer à la fois les capacités des sciences à construire des savoirs objectifs, et les aspects sociaux, culturels, subjectifs, qui traversent cette construction de savoir. Il s’agit, en somme, de voir comment assumer ces aspects subjectifs permet de construire encore plus d’objectivité.
Afin de mieux comprendre comment fonctionne une approche de type “savoir situés” (voir le premier post du blog), je vous propose d’analyser ensemble un exemple… En quelques mots, il s’agit d’une approche épistémologique (étude critique des conditions de validité et de construction des savoirs) qui met l’accent sur les aspects contextuels, humains, sociaux, pour ajouter une couche de profondeur aux articles, livres, ou concepts qu’on va aborder. Et en l’occurrence, on va directement aborder un sujet chaud au sein du monde canin : la dominance !